Fabien Austruy Présentation

Fabien AUSTRUY
41 ans
Habitant de Gourgan

Qui suis-je ?

Professeur des écoles depuis 16 ans, je suis né et je vis à Rodez, dans le quartier de Gourgan, où j’ai grandi.
J’en garde des souvenirs simples et heureux : les goûters d’enfance avec la fameuse chocolatine de la boulangerie Augusto, les mercredis et vacances passés au centre social – aujourd’hui maison de quartier – entre rires, découvertes et amitiés.

Je me souviens aussi des kermesses de l’école et du spectacle de fin d’année, que j’attendais chaque fois avec impatience pour pouvoir monter sur scène.
C’est sans doute là qu’est née cette envie de jouer, transmettre et créer qui m’anime encore aujourd’hui.

Mes racines sont profondément ruthénoises : mon grand-père maternel, contremaître au service de la voirie, a œuvré pour la Ville de Rodez dès 1945 et habitait rue Saint-Cyrice ;
mon père, lui, a travaillé pendant 39 ans pour les services municipaux.

Cet héritage du service public, fondé sur la discrétion, le travail et la fidélité à la collectivité, est une valeur que je porte avec fierté et respect.

En parallèle de mon métier d’enseignant, je suis comédien, metteur en scène et fondateur d’une compagnie et d’une école de théâtre ouvertes aux enfants et aux adolescents.
J’ai eu la chance de mettre en scène Les Misérables pour un grand spectacle estival de la Ville, qui a réuni plus de 4 600 spectateurs.
Je suis également mannequin professionnel et sportif passionné, pratiquant le crossfit quotidiennement, un moteur d’équilibre et de persévérance dans ma vie.

Mon engagement

Ma vie personnelle et professionnelle est déjà bien remplie.
Je pourrais continuer à me consacrer à mes projets artistiques, à mes élèves, à ma vie de famille, à mon épouse et à notre projet de construction, mais aujourd’hui, je ressens qu’il est temps d’agir.
Agir non pas pour moi, mais pour les autres — par altruisme, par empathie, par conviction que Rodez mérite mieux que la résignation ou l’immobilisme.

Cela fait 18 ans que Rodez est dirigée de la même manière, et beaucoup de Ruthénois ressentent une forme de lassitude.
L’engagement public, pour moi, doit redevenir un acte de service, un lien de confiance entre ceux qui décident et ceux qui vivent la ville au quotidien.

Je crois profondément en une politique de bientraitance et de reconnaissance :

👉 envers les agents municipaux et les employés des services publics, qui, souvent dans l’ombre, font fonctionner Rodez chaque jour ;
👉 envers les habitants et les commerçants, qui donnent vie à nos rues et font battre le cœur de notre ville.

Rodez a besoin d’une nouvelle respiration, d’une façon plus humaine, plus apaisée, plus transparente de conduire les affaires publiques.
D’un rapport au pouvoir qui ne soit pas vertical, mais partagé, fondé sur la confiance, le dialogue et le respect mutuel.

La politique, parfois, a perdu de sa noblesse, de son authenticité.
Je crois pourtant qu’on peut lui redonner du sens, ici à Rodez, en remettant l’humain au centre, en agissant avec sincérité, et en réhabilitant la confiance entre les citoyens et leurs élus.

C’est le sens de mon engagement aux côtés de Sarah Vidal :
construire une ville qui rassemble, qui respire, et où chaque voix compte.

Une citation que j’aime

« Souris à la vie, et la vie te rendra son sourire. »

C’est ce que je dis à mes élèves chaque jour — parce que l’optimisme, c’est aussi une forme d’engagement.
Et j’aimerais qu’à Rodez, nous retrouvions ensemble ce sourire collectif, cette envie simple de vivre bien, ensemble.

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